L’établissement d’un diagnostic technique global (DTG) des immeubles relevant du statut de la copropriété fait partie intégrante de la loi Alur, entrée en vigueur courant mars 2014.
Articles L731-1 à L731-5 : ce diagnostic permet d’assurer l’information des copropriétaires sur la situation générale de l’immeuble et, le cas échéant, de réaliser des travaux ou aménagements votés en assemblée générale.
Le DTG s’inscrit dans une démarche étatique visant à :
Le DTG est rendu obligatoire pour :
L’autorité administrative peut à tout moment demander au syndic de produire le DTG. Dès lors, le syndic dispose d’un mois pour réaliser le diagnostic selon les conditions prévues par la loi.
Sans présentation du DTG en temps et en heure, l’administration peut imposer sa réalisation aux frais des copropriétaires.
Pour les immeubles dont le DTG n’est pas obligatoire, la loi Alur prévoit néanmoins de soumettre au vote de l’assemblée générale la réalisation du DTG, sans obligation de l’adopter.
Seule une personne physique ou morale disposant des compétences et diplômes fixés réglementairement peut réaliser le DTG.
Le diagnostic s’articule autour de quatre points fondamentaux :
Le DTG vise à établir une liste exhaustive des améliorations possibles pour améliorer la vie de l’immeuble et de ses occupants.
Il précise :
Le diagnostic sert à aider les copropriétaires à mesurer les travaux et améliorations nécessaires pour assurer la durabilité de l’immeuble et sa conformité réglementaire.
Il est primordial que copropriétaires et syndic assurent des provisions financières suffisantes pour couvrir les travaux futurs.
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